je regarde ce soir sur la tv

merci votre altesse sérénissime !

Je regarde un documentaire sur Amy .... quelle artiste ..... quel gâchis ...

son public n'a pas toujours été à la hauteur ni compréhensif :chut!:

un destin tragique de plus dans le monde de celui des lumières , c'est vrai

c'est récurrent chez les grands blessés de l'âme qui se noient dans la drogue , ne l'oublions pas

la responsabilité de la grande faucheuse doit être minorée par le ravage qu'entretient la merde ...

je peux vous en parler

Arte 23H. "Rumble".

Citation :

Longtemps occultée, l'influence de la musique traditionnelle amérindienne sur la musique populaire américaine, des premiers bluesmen aux stars du rock des années 1980, est indéniable. Le titre instrumental Rumble, tube à la guitare sorti en 1958, composé et joué par le descendant d'une tribu shawnee, Link Wray, d'abord interdit à la radio, a marqué la jeunesse de Jeff Beck ou de Jimmy Page, qui ont longtemps ignoré les ascendances de son créateur. Le bluesman Charley Patton, métis choctaw, ou encore Jimi Hendrix, métis cheerokee, ont eux aussi joué un rôle majeur dans l'évolution de la pop américaine. Des artistes, comme Martin Scorsese, Quincy Jones, Iggy Pop ou encore Marky Ramone, apportent leur éclairage sur la question

Scorcese, qui, comme Eastwood, n'est pas qu'un homme de cinéma, est de la partie. Si vous n'êtes pas là, enregistrez.

Visible dès maintenant ici:
...
https://www.arte.tv/fr/videos/051059-000-A/rumble-le-rock-des-indiens-d-amerique/
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8)

.... je me goure ou déjà diffusé ??? ....

je l'ai vu à l'hosto ... il me semble bien ? un voyage spatio-temporel ?

charlie a écrit:

.... je me goure ou déjà diffusé ??? ....

je l'ai vu à l'hosto ... il me semble bien ? un voyage spatio-temporel ?

Plutôt un Alzheimer inversé... :moqueur:

c'est une idée bandante ....

http://programme-tv.nouvelobs.com/cinema/une-femme-de-menage-14188/

excellent film de claude berri avec un bacri parfait , comme toujours !

un régal .... qui permet d'échapper au .... bourrage médiatique , en plus ...

ah keu keu !

ne loupez pas whiplash sur la 14 !!!!!!!

chef d'oeuvre absolu ....

si j'avais su faire le dixième ... de ce à quoi il parvient ...

pas de musique sans musiciens ; pas de chef d'oeuvre sans des interprètes exceptionnels !

la vie n'est pas un long fleuve tranquille (putain de bordel de merde !!!)

charlie a écrit:

ne loupez pas whiplash sur la 14 !!!!!!!

chef d'oeuvre absolu ....

si j'avais su faire le dixième ... de ce à quoi il parvient ...

pas de musique sans musiciens ; pas de chef d'oeuvre sans des interprètes exceptionnels !

la vie n'est pas un long fleuve tranquille (putain de bordel de merde !!!)

+1! vu il y a quelques mois, j'ai beaucoup aimé aussi, on souffre pour le gamin, tellement on entre dans la peau de son personnage! Bon, je ne veux pas raconter toute l'histoire, mais la bonne maîtrise d'un instrument tel que la batterie est bien plus difficile qu'on imagine, pour ma part, c'est la leçon que j'en ai tiré...On a rien sans rien...

très bien interprêté!

.... alors maintenant ... si tu prêtes en inter , je vais y réfléchir ; ça dépend de combien tu prends "en loucedé" !

:suspect:  :suspect:

et si j'en crois les photos que tu postes , tu n'es pas du genre à ne tirer que des leçons , gros dégueu !!!!


pour les instrus, ils sont tous difficiles à maîtriser ; la batterie a pourtant une particularité ; il faut dissocier
quatre membres , leurs imposer un temps et les faire varier indépendamment les uns des autres tout en leur
gardant une synchro irréprochable , le tout avec un seul cerveau qui ne demande qu'a décrocher parce que ton
propre tempo se créer irrémédiablement en fonction de ton plaisir personnel qui oublie vite la partition si tu
te laisses aller ... quand tu sais lire une partition !

mon père jouait du bugle et du clavier ; mon frère aîné du saxo ; j'étais admiratif ;

le batteur n'intéresse personne ; c'est frustrant ...  

ah oui, et toi? dégueu toi même! Tu n'es pas obligé de nous montrer ta femme en train de mettre un disque! :moqueur:

Même si elle vaut le coup d'oeil  :twisted: :lol!:

ppp

Oui, on va dire ça comme ça! 1 partout, et la balle au centre (en trichant un peu il est vrai)! :lol!:

Rien de bien méchant...

pas de pb , mat ! :moqueur:

Ce soir sur FRANCE Ô ... Harlem Hellfighters : les héros oubliés de l'Amérique
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https://www.dailymotion.com/video/x6bb8hc
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Citation :

Printemps 1918, sur le front de Champagne, une unité se fait remarquer par sa bravoure au combat : le 15e Régiment de la garde nationale de New York. Une unité composée exclusivement de soldats noirs. On les a surnommés les « Harlem Hellfighters » : ce sera l’unité américaine la plus décorée de la Première Guerre mondiale. Celle aussi qui combattra le plus longtemps au front : 191 jours. Un record !

Au sein de cette unité composée de deux mille soldats africains-américains, cent soixante-dix de ses hommes seront décorés de la Croix de guerre française. Parmi eux, Henry Johnson, modeste bagagiste à la gare d’Albany, James Reese Europe, musicien et chef d’orchestre culte de la scène new-yorkaise, Noble Sissle, compositeur et interprète, et Horace Pippin, artiste peintre… Tous sont sous le commandement d’un officier blanc progressiste, William Hayward.

En France, ce ne sont pas seulement la liberté et la démocratie qu’ils viennent défendre avec rage, mais l’égalité raciale. En se battant en Europe, ces descendants d’esclaves espèrent gagner une autre guerre, celle qui se déroule dans leur propre pays contre la ségrégation, et être enfin considérés comme des citoyens américains à part entière.

À travers ce film, le réalisateur Francois Reinhardt dépeint avec force le parcours de ces hommes et la pluralité de leurs combats.

Diffusion le 13 décembre 2017 à 20h55 sur France Ô.

Un beau documentaire avec beaucoup de témoignages et des documents d'époque..

A revoir pendant 6 jours ici:
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https://www.france.tv/france-o/histoire-d-outre-mer/saison-2/347419-la-grande-guerre-des-harlem-hellfighters.html
...
Le sort de ces soldats à leur retour chez eux est terrifiant !!!!!

Janis, Hier soir sur ARTE !  8)



Amy Berg explore les fêlures et la carrière météorique de l’inégalable Janis Joplin, icône éternelle du rock et de la contre-culture de la fin des sixties.

"C’est ça l’ambition pour moi : ce n’est pas la quête frénétique de réussite et d’argent, c’est peut-être l’envie d’être aimée, de recevoir des tonnes d’amour", écrit-elle à sa famille, quelques mois avant de rallier le tristement mythique "club des 27", alors en devenir. Tout au long de son incandescente carrière, la reine du blues a couru sans relâche après la reconnaissance, comme pour panser les écorchures de son adolescence persécutée. Dans le Texas conservateur où elle est née en 1943, Janis Joplin paie cruellement la rançon de sa différence : harcelée par ses camarades de lycée pour son look détonnant et ses positions antiségrégation, elle est ensuite élue "garçon le plus laid" de l’université d’Austin. Elle fugue à San Francisco et plonge dans son tourbillon libertaire, entre bœufs endiablés, amours bisexuelles et excès d’amphétamines. Recrutée comme chanteuse du groupe Big Brother and the Holding Company en 1966, elle accède à la notoriété l’année suivante lors du Monterey Pop Festival. L’album "Cheap Thrills" finit de la propulser au rang d’icône de sa génération. Arborant désormais toques de fourrure et immenses lunettes rondes, cette inconditionnelle d’Otis Redding s’émancipe en constituant une nouvelle formation : le Kozmic Blues Band, dont l’échec relatif, marqué par sa performance embrumée à Woodstock, l’aspire dans une nouvelle spirale destructrice – elle est brisée par son amour pour un globe-trotter rencontré au Brésil. Mais, alors qu’elle travaille à l’enregistrement de "Pearl", elle est emportée par une overdose d’héroïne le 4 octobre 1970.

Au firmament
Compulsant extraits de ses performances électrisantes, séquences télévisées, souvenirs à la fois avisés et émus de ses frère et sœur, de ses compagnons de musique et de plaisirs, mais aussi lectures de sa correspondance intime par la chanteuse Cat Power, ce vibrant portrait musical explore la personnalité écorchée et le talent à l’état brut de cette voix hors du commun, toute de rage et de sensualité, qui résonne toujours puissamment près d’un demi-siècle après sa disparition.
.

que dire
une belle personne authentique,écorchée ,sensible avec ses failles
un don,une grâce
Unique

bien loin des produits formatés de merde sans talent de ce que l'on veut nous imposer aujourd'hui

a gerber

LUC

Et Joan Baez aussi hier soir sur Arte. Concert superbe au Beacon Theater de NY pour son 75ème anniversaire.
C'est en replay.

INEDIT !!! : Ce soir à23h00 sur ARTE



Ce documentaire raconte la fin de la tournée d’adieu de la formation musicale qui a ouvert la voie au heavy metal : Black Sabbath. Le 4 février 2017, le groupe emmené par Ozzy Osbourne, Tony Iommi et Geezer Butler a donné à guichets fermés son dernier concert à Birmingham, là où tout a commencé pour eux en 1968. Ce show émouvant, au cours duquel ont été entonnés les désormais classiques "Iron Man", "Paranoid" ou "War Pigs", marque le point d’orgue d’une carrière de près d’un demi-siècle, conclue par la tournée "The End", qui a attiré plus d’un million de fans du monde entier. Ponctué d’interviews exclusives des membres de Black Sabbath, ainsi que d’images tournées en coulisses et en studio, ce documentaire-testament rend un vibrant hommage à l’un des plus grands groupes de metal.

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https://www.arte.tv/fr/videos/078734-000-A/black-sabbath-the-end-of-the-end/
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Juste par curiosité je vais l'enregistrer ce soir... Smile
Je ne suis pas un grand fan mais j'ai bien aimé quelques trucs plus jeune..

CE SOIR SUR C STAR (Chaine 17 ) A 21:00 AC/DC Autoroute pour l'enfer INEDIT !!!  :)
…
http://www.telerama.fr/television/acdc-autoroute-pour-lenfer-voyage-au-bout-du-hard-rock-sur-cstar,n5691667.php
...
Loin des portraits hagiographiques sans âme habituels, le documentaire du Français Olivier Richard revient sur l’odyssée du groupe de hard-rock australien avec un regard profondément humain, à la fois joyeux et mélancolique, en s’appuyant sur des intervenants émouvants.

_On pensait tout savoir sur AC/DC, on se trompait (un petit peu). Le réalisateur Olivier Richard prend le temps d’embrasser, durant une heure trente, la carrière des derniers gardiens des Tables de Loi du rock’n’roll. Un luxe dans ce genre d’exercice télévisuel. Grâce à de nombreuses archives live et interviews, et surtout grâce à la participation d’intervenants proches et/ou spécialistes du groupe (Bernie Bonvoisin de Trust, le guitariste virtuose Joe Satriani, le journaliste Francis Zégut, le batteur intermittent Chris Slade…), on (re)découvre avec plaisir le parcours exemplaire, bien que semé d’embûches (alcoolisme, mort dans son vomi de Bon Scott, désaffection passagère du public dans les années 1980...), de la bande des frères Angus et de Malcolm Young.

A voir sur CStar, lundi 18 juin à 21 heures.

désolé mais y'a foot :moqueur: